Correspondance avec le peintre René Auberjonois en 1955. Le jeune Alexandre étudiant aux Beaux-Arts se plaisait à rappeler qu’il était l’un des seuls que le vieux peintre, quelque peu acariâtre, acceptait dans son atelier situé en face du Lausanne-Palace, dans les toits au-dessus de la galerie Valotton. Ils allaient souvent boire un café au « Brésilien », un peu au-dessus de l’angle St-François – Petit-Chêne…